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Crime contre la paix

Crime contre la paix 

On ne me retirera pas l’idée que si un citronnier produit des citrons, une entité terroriste produit du terrorisme. Et plus cette dernière s’applique à bien faire son travail, c’est-à-dire à se nourrir de haine pour promouvoir l’obscurantisme, moins elle passera de temps à cultiver son jardin. Résultat : une terreur en friche se développe dangereusement sur le terreau de l’humanité.

Les causes justes n’ont pas besoin de haine pour se défendre. Ni non plus d’apologies à la destruction massive d’une nation, selon la charte des Arabes palestiniens, toutes obédiences confondues, islamiste ou non.

Quel que soit la couleur du ciel, au-dessus, il est toujours bleu. Ainsi est la vérité. Libre, immuable et silencieuse, elle ne s’aliène d’aucune doctrine. Elle n’a pas besoin de bâton pour se diriger. Elle n’est pas aveugle et distingue la vraie lumière de ses apparats Et si on prétend la distordre, alors l’orage éclate furieusement, inévitablement. C’est la guerre entre le bien et le mal.

Les loups ne se dévorent pas entre eux, dit-on. Les démocraties non plus. Or la démocratie de l’état d’Israël, perçue comme la rage d’un chien sans collier, n’est pas mieux lotie que le lien de Jérusalem avec le Judaïsme. Car pour les Européens les Juifs ne seraient plus que des Sémites venus de Mars, et pour les Arabes, des colons venus d’Europe. Ce paradoxe reflète une guerre larvée entre l’Orient et l’Occident, avec les Juifs en trait d’union.

Mais que peut-on attendre d’un monde qui renie ses origines, sa foi et ses crimes. Un million de morts sous le joug de l’Aigle Romain. Jérusalem capitale du Royaume de Judée est détruite. Le peuple Juif dispersé. Deux mil ans de tragédie, réactualisés au quotidien par un antisémitisme virulent. La solution à la question juive s’impose enfin. Les exilés de Judée par l’occupant romain et interdit de retour par l’invasion arabe, devront passer sous la douche…

En Europe, 70 ans après la fin du III Reich, et alors que l’Etat d’Israël est fort et puissant, l’Unesco vote la spoliation du Caveau des Patriarches à Hébron et le Tombeau de Rachel à Bethlehem. Le 16 avril dernier c’est au tour du Mont du Temple et du Mur des Lamentations de tomber dans l’escarcelle des palestiniens. Des lieux saints essentiels du Judaïsme passent ainsi aux mains de l’Islam dont la résolution a été principalement soutenue par la France.

Un balayage de l’histoire hautement symbolique

Généralement, après la guerre, l’heure est à la paix et à la reconstruction. Le temps des chantiers où le bien matériel et les mauvaises idées sont remis à zéro. Ces résolutions ne sont pas neuves : la haine est faite pour détruire, l’amour pour reconstruire. L’avenir se cimente de promesses. On ne nous y reprendra plus, jure-t-on du côté des démocraties. C’est la dernière guerre. La der des ders. Vive la paix ! Faites l’amour, pas la guerre ! Chantez, dansez !

Mais quand la vérité est remise en question, la paix est-elle négociable ?

Mais alors le mensonge c’est pour quoi faire ? Pour préserver la paix ? J’en suis fort aise. Eh bien ! Battez-vous maintenant.

Par A. A. – Le 4 mai 2016

On peut supprimer ce qui constitue les bases de l'histoire juive, chrétienne et maçonnique sans que les obédiences ne réagissent.

Au secours ! Hiram reviens! Ils sont devenus fous !